Gackt et sa famille (tiré de son autobiographie)

Je mourrais pour ma famille.
La chose que j'appelle ''famille'' n'est pas ma famille actuelle. Ça se compose de mes amis avec qui j'ai une compréhension mutuelle.
A présent, ma famille consiste à, au plus, autour de 10 ou 15 personnes. Ils ont des jobs différents, et il y a des hommes et des femmes. Les circonstances de nos rencontres sont aussi variées.
C'est étrange, mais jusqu'à ce que j'aille à Madagascar, je n'avais encore pas rencontré la plupart de ces personnes. En tout cas, je pense que j'ai un bon groupe.
Hors de ces 15 personnes, la plupart d'entre elles peuvent être appelés des ''propriétaires''. Ils sont ceux qui restent au-dessus de n'importe quelle famille. Il y a aussi une partie qui est impliquée dans la politique.
Si j'inclus chacun en haut et en bas de la ligne, je finirais avec énormément de personnes dans le groupe. Ce n'est pas une question de 1 + 1 = 2. Si chacun dans une famille rencontre chacun d'autre face à face, les nombres augmenteront d'un seul trait. Bien que l'on peut appeler ça ''la règle de la famille'', c'est une augmentation mystérieuse.
Cependant, ce n'est pas pour ça que nous venons ensemble.
Les personnes supérieures qui ont toujours été à mes côtés ont la plupart du temps combattu leurs batailles dans la solitude. Ce n'est pas simplement que les personnes au-dessous de moi ne peuvent pas montrer les parties les plus faibles d'elles-mêmes. C'était aussi qu'elles avaient des responsabilités, et peu importe comment vous regardez ça, étant chargées des vies des autres les a rendues mâtures.
Depuis que je suis en solo, je suis devenu averti et j'ai gagné un point de vue de l'association avec d'autres gens qui sont avertis. Nous courons vers l'avant. Il n'y a pas d'excuse, et nous ne pouvons pas éviter ça. Si j'arrête de courir vers ce qui se trouve en avant, alors ils se sentiront aussi obligés d'arrêter. Dans le passé, je pensais toujours cela.
C'est dit que c'est un combat bien que la vie toute seule est la chose la plus facile à faire.
Cependant, récemment, j'ai pensé à ceci très profondément. Certainement, se battre seul pour la vie est peut-être la chose la plus facile. Encore, ceux qui se battent tout en croyant en quelque chose sont certainement forts !
Dans le passé, jusqu'à ce que je rejoigne Malice Mizer, parce que j'étais un homme de combat, je ne prêtais pas attention au fait de me battre jusqu'à l'effondrement. Et quand je m'écroulait, je pensais seulement qu'au moins j'aurais seulement pensé que ça se produirait avant que ça se passe.
Maintenant, cependant, je ne fais plus ça. Parce que je ne me bats pas tout seul. Maintenant j'ai une famille. J'ai des gens sur qui je peux compter et qui m'aident, qui me soutiennent.
Bien qu'il y eut des périodes où je pensais que je les aidaient, sincèrement, j'ai commencé à sentir comme si j'étais soutenu par eux. Ce sont les personnes qui observent mes arrières. Donc, s'ils me tiennent fermement, je ne tomberais jamais.
Je pense, maintenant, que le cœur des gens ont l'habileté de devenir juste aussi forts que s'ils portaient une amulette protectrice sur eux. Les personnes de ma famille pensent aussi de cette façon.
Tandis qu'ils luttaient individuellement à travers la solitude, être tous ensemble dans la conscience appelée famille leur donne le sentiment qu'ils ne seraient pas battus par n'importe qui. Il y a une famille et il y a des rivaux, et nous pouvons nous provoquer ou nous pouvons avoir de bons rapports.
La raison première de pourquoi je crois en eux est qu'ils ne sont pas des gens qui sont seulement concernés par des choses simples et faciles. Aux histoires des choses positives, ils sourient du fond de leurs cœurs. Aux mauvaises histoires, de choses négatives, ils savent que ce n'est pas définitif.
En général, pourquoi est-il nécessaire de raconter des histoires de choses inquiétantes et douloureuses ? C'est parce que en leur disant cela soulagera la douleur, n'est-ce pas ?
Si vous léchez les blessures que vous portez, alors elles deviendront certainement moins douloureuses. Cependant, si vous cessez de les lécher, la douleur reviendra encore.
Donc même si ça blesse, vous devrez recoudre vos blessures rapidement. Ça fera vraiment mal pendant qu'elles se recousent, mais après ça, vous serez sur le chemin de la guérison. En d'autres mots, c'est une relation entre nos cœurs.
Parler de choses qui sont douloureuses à chacun d'entre nous et lécher les blessures de chacun est quelque chose que les autres personnes autour de nous peuvent aussi bien faire. Toutes les fois où quelqu'un porte un lourd fardeau, ce qui est important est de combien nous pouvons aider cette personne à recoudre ses blessures.
Recoudre les blessures sera extrêmement douloureux. Il n'y a aucune anesthésie, pas dans les mots que nous employons. Mais après ça, nous guérissons sans qu'il reste même une trace de cicatrice. C'est comme ça que les choses sont.
Par exemple, l'affaire que l'une des personnes de ma famille courrait était qu'elle avait des ennuis. Il ne pouvait vraiment parler de ça à personne d'autre. Par moi-même, ne parlant de ça à personne, il aurait pu le partager.
Cependant, il nous a dit cette nouvelle. Parce qu'il nous l'a dit en personne, nous avions réalisé combien le problème était grave. Donc, ne travaillant avec personne d'autre, nous nous sommes tous individuellement demandés comment nous pourrions l'aider. Personne n'a dit ''Travaillons ensemble pour l'aider''. Donc nos aides ont augmentées très lentement.
Aider quelqu'un n'est pas juste ''une façon''. Vous avez à choisir quel est le meilleur moyen de le faire, et c'est un travail difficile. Dans son cas, c'était nécessaire.
Bien entendu, pouvons-nous tous continuer de réussir tout le temps ? Personne ne sait ça. Mais quand nous devons nous demander ça, nous nous asseyons pas juste en disant ''pauvre garçon''. C'est juste grossier. Dire ''pauvre garçon'' à des gens qui luttent difficilement n'est pas seulement montrer de la compassion. Ça peut être dit que les gens deviennent faibles au point où ils n'ont plus de force, et alors ils tombent. Pour cette raison, je pense, nous nous léchons pas chacun nos blessures, et peu importe ce qui arrive, nous devons tous marcher en avant.
Bien qu'il y ait des malentendus, nous ne sommes pas une famille parce que nous réussissons chacun tout seul. Ce n'est pas une condition pour une famille. La chose importante est que toutes les fois où quelque chose arrive, nous pouvons avoir une vrai compréhension mutuelle avec chacun d'entre nous, et que nous pouvons avoir des amusements ensemble. Cependant, si nous ne croyons pas en chacun de nous, nous ne pouvons agir.
Dans ma famille, toutes les fois où quelqu'un est blessé, je ne m'assois pas à côté de cette personne en lui disant ''Oh, c'est si bête que tu souffre...'' mais plutôt, je prend la position de dire ''Tu peux le faire !''. Pour faire ça, je devrais devenir plus fort.
C'est bien pour nous tous de vivre comme si nous avions une amulette qui nous protège.
Quand quelqu'un faisait quelque chose et avait un problème, quand ils regardaient dans leur propres poches, ils en sortaient l'amulette...
Je pense que nous devrions tous vivre comme ça.